Essai M235 Gran Coupé : il manque quelque chose

BMW poursuit le renouvellement de sa gamme avec l’arrivée de la Série 2 Gran Coupé, deuxième génération de cette « berline coupé 4 portes ». C’est la version la plus puissante, la M235, que nous avons prise en mains. Il ressort de ce test une sorte de « manque » quand on est fan de la marque.

Nouveau design mais profil typique

Personnellement, je suis fan des BMW Gran Coupé, depuis la Série 6 lancée en 2012. A mes yeux, la meilleure version reste l’actuelle Série 4 qui marie une ligne sportive à un hayon tellement pratique. Si la nouvelle Série 2 séduit par son style général, elle reçoit, par contre, un coffre à ouverture « classique » qui pénalise fortement le chargement d’objets et rend la « vie de famille » moins pratique. Son volume atteint 430 litres.

La face avant reprend celle de la nouvelle Série 1 avec une grande calandre plus basse que l’ancienne, orientée vers l’avant, éclairée en option, et une nouvelle structuration qui fait appel à des barres verticales et diagonales. Une nouvelle identité visuelle, qui se rapproche de celle de la Neue Klass, fait son apparition. Les phares LED adaptatifs et directionnels avec feux de route matriciels anti-éblouissement sont disponibles en option.

C’est surtout à l’arrière que le style évolue le plus. Les designers ont voulu quelque chose de moins massif. Je trouve cela assez réussi, surtout sur la M235 qui est la seule à disposer des échappements apparents.

De profil, on retrouve les portières sans montant typique de ce type de voiture, ce qui facilite l’accès une fois les vitres baissées à distance avec la télécommande. Un sigle « 2 » est inscrusté dans le pan de Hofmeister.