Essai – Peugeot RCZ… J’aime !!!

Rediffusion 18/05/2010

Certes c’est la version 1.6 THP de 156 chevaux que j’ai eu le plaisir de conduire… Mais cela m’a suffit à cerner rapidement le potentiel de la Peugeot RCZ ! Et pour vous dire, j’ai eu un petit coup de cœur pour cette nouveauté. Pourquoi ? Je vais tenter de vous l’expliquer…

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La ligne…

C’est toujours une affaire de goût et bien entendu, je vais être subjectif. Mais là, Peugeot a fait très fort ! rome Gallix (voir ici son interview !) a eu du flair pour signer ce qui sera sans doute l’un des dernier modèles de la marque avec ce style (grande calandre). L’avant est agressif mais reste dans la lignée des 207 et autres 308. Là où tout bascule vers le coté obscur de la force, c’est à partir du pavillon. Double bossage (clin d’œil à la 908 du Mans), arches de toit mises en valeur par une finition aluminium, ailes galbées et arrière travaillé… Tout est là pour donner à la RCZ une allure personnelle ! Le petit aileron qui se déploie en fonction de la  vitesse  affine le tout. Un bouton à l’intérieur permet de le rétracter selon vos envies.

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L’intérieur

Jolie transition non ? Il est évident que vous ne serez pas surpris par le tableau de bord, issu de la 308. Mais pour une fois qu’un constructeur français signe un ensemble cohérent et cossu, ne boudons pas notre plaisir… La version testée est le haut de gamme : GPS, cuir étendu, Hifi… Les commandes tombent bien sous la main, la finition est très correcte.

Seul carton rouge : pourquoi avoir fait des sièges disons… heu… idiots ? En effet, alors que je verrais bien cette RCZ comme voiture familiale (si si je vous assure !) grâce à son grand coffre, pourquoi faut-il recourir au réglage électrique pour faire avancer le siège passager ou conducteur, avec perte de la position initiale ??? Si j’achète un RCZ, je le conduis manu militari chez Recaro le doter de deux beaux baquets en carbone avec basculement mécanique ! En plus de cela, le gain en poids sera palpable, la place pour les enfants à l’arrière gagnera en profondeur et je serai mieux calé pour apprécier le châssis.

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Le châssis…

Superbe transition n’est-ce pas ? (c’est la seconde !) Les voies ont été largement élargies de 44 mm à l’avant et 63 mm à l’arrière, et la caisse rabaissée de 23 mm et le centre de gravité  perd 4 cm par rapport à la 308. Et cela se sent ! En effet, une fois le contrôle de stabilité enlevé (il intervient beaucoup trop tôt !!), on se prend à placer la Peugeot RCZ sur les freins et à profiter d’un train avant incisif. L’arrière suit sans broncher. C’est précis et efficace. Dès lors, on remet les gaz et, sans doute du fait que le moteur ne délivre que 156 chevaux , on s’extrait du virage sans difficulté. Et ainsi de suite… Il vous reste juste à trouver votre terrain de jeu !

Le poids contenu (1275 kg selon Peugeot) permet aussi au petit moteur de ne pas être à la peine. Le bruit du 4 cylindres a été travaillé et l’on est alors surpris par le fait qu’il émette un bruit agréable.

Coté performances, on peut compter sur une vitesse de pointe de 217 km/h, un 1000 m DA en 29.2s et un 0-100 en 8.0 secondes selon Peugeot.

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Conclusion.

Pas besoin d’en dire il me semble… Le coupé RCZ jette un pavé dans la marre et j’ai hâte de pouvoir tester des versions plus performantes. Et pourquoi pas une version Le Mans Séries ???

Le point de vue de La Provence.

J’aime

La ligne

La tenue de route

Les prix de vente corrects.

J’aime pas

LES SIEGES !!!!

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